Ben Ali a fui son pays,chassé par la pression de la rue.Du jour au lendemain cet homme qui avait imposé sa main de fer sur la Tunisie et son peuple pendant pres d'un quart de siecle ,a du se resoudre à l'exil ,abandonnant un pouvoir qu'il croyait éternel pour se refugier momentanement en Arabie Saoudite...
Husnu Mubarak est sur le point de ceder a la merveilleuse proptesta de la rue egyptienne qui le somme de partir ailleurs...
Dans notre malheureuse Algérie, l'autocrate, malade, plein de morgue et de suffisance ,doit au plus vite les consequences de son incapacité physique et demissionner tres tres vite ,afin de une fin tragique ... Il est temps pour le clan qui squatte le pays depuis 1962 de choisir entre l'immense clameur qui sourde des profondeurs de notre société et le clan de Bouteflika ...
Je les supplie de ne pas rater cette opportunité: Il est encore temps de se ressaisir
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Les algériens doivent absolument saisir cette occasion de changer leur système politique en embarquant dans cette vague de révolte qui parcourt en ce moment les pays arabes. Mais il faut préparer cette révolte pour que ne soient pas répétés les erreurs de 1988, c'est a dire mener une révolte sans veiller a protéger les citoyens cotre les possibles dérapage que cette revolte peut prendre menerait inevitablement a un echec.
RépondreSupprimerje suis d'accord avec vous Acila, mais la révolte doit être sereine, car il ne faudrait pas prendre la proie pour l'ombre. De nombreux prédateurs n'attendent qu'une chose : c'est que le système s'effondre. C'est pour cela qu'il ne doit pas s'effondrer, mais se transformer avec force de l'intérieur, petit à petit. Voyez ce qui se passe en Egypte, en Tunisie, en Libye, et maintenant en Syrie. Je voudrais bien dialoguer avec vous, et avec ALAMI, dont les analyses me plaisent , et je les reçois 5/5. Avec lui, je voudrais savoir, s'il a une solution. Avec vous aussi.
RépondreSupprimerCeci est mon premier contact, j'espère qu'il y en aura beaucoup d'autres.Libertad.